Dimanche 16 avril 2006 à 16:18


MON CUL!!




Non non ne vous inquiétez pas, j'avais juste envie de gueuler un coup contre ces gens qui n'y connaissent rien et qui, parce qu'ils viennent de découvrir un groupe de métal, le classe dans le néo. "Tiens c'est nouveau? ben c'est du néo alors!"


En fait je dis tout ca car lundi je suis allée à cultura et que je suis tombé sur le nouveau cd de lacuna, sur lequel une affreuse étiquette disait: "Le néo au féminin"...


Donc, non LACUNA COIL N'EST PAS DU NEO METAL!! Tant qu'à faire j'en profite pour vous mettre un clip d'un morceau du dernier album...



 

By princessvalium

Conneries

Dimanche 9 avril 2006 à 11:34



Bon ce n'est pas ce qui était prévu mais, cherchant de belles photos des Pyrénées pour peindre un nouveau tableau, je suis tombée sur CA... et la... rien à dire, ouvrez grand vos mirettes!






































FORGOTTEN TOMB - Disheartenment

Dimanche 2 avril 2006 à 16:19

D'aucuns disent que je me rat molly, d'autres que je n'ai plus d'idées...



La VERITE (non non elle n'est pas ailleurs, elle est ici, sur CE blog!) c'est que je n'ai pas le temps!! Je n'ai même plus le temps de me délecter des textes d'Atom!!


 Ca fait 3 mois que j'ai 2 ou 3 articles bien comme vous les aimez (vous croyez que j'ai pas remarqué que les visites augmentent dangeureusement (parfois même m'ayant propulsé dans la ligne de mire du top 10!) quand je fais mes méchantes petites critiques sur nos amies les gothopouf etc???) en préparation (en fait, je ne les ai pas encore commencé mais j'ai l'idée de base...)


Un sur nos amis les bourgeois "communistes" dreadeux (je pense que quelqu'un m'aidera, ca l'aidera à se défouler amèrement ^^) et l'autre sur la true evil attitude (ou les règles de vie du true (du cul?) de base) que je veux faire depuis déjà fort longtemps!!


Ce week-end j'avais prévu de vous faire la chronique de tous les très bons films, et les moins bons, que j'ai pu matter ces derniers temps et encore une fois, je n'ai pas eu le temps... En fait il serait plus juste d'avouer tout simplement que je n'ai pas PRIS le temps de le faire... Parce que faut avouer qu'avec toutes ces grèves, je n'ai qu'une chose à faire, comme tout bon étudiant engagé, c'est glander! (et voila je vais encore me faire taper sur la gueule pour mes opinions politiques! Déjà qu'un certain chanteur d'un certain groupe palois dont le nom ressemble étrangement à un certain synonyme du mot bétise, idiotie m'a pris pour une facho! )


Ouais en fait la véritable raison, c'est LA FLEMME cette maladie qui décime plus de 3 milliards d'êtres humains dans le monde. On nous parle des trucs là, le sida qui tuent juste 3 millions de personnes par an et puis la grippe du poulet, qui tue... DES PIGEONS!! Mais la flemme, non de dieu, c'est la maladie du siècle, que dis-je? du millénaire!!


Bref, je glande, je glande, mais... Je ne poste plus vraiment!


Alors c'est promis, la semaine prochaine je m'y mets!! non mais!! (va faloir me boter le cul!)...


bon en attendant euh... un dessin tout pourris que j'ai fait hier soir, et qui n'est pas exactement terminé mais bon... faut bien accompagné cet article inutile ^^

By princessvalium

Autobiographie

Samedi 1er avril 2006 à 22:18

Aller un peu de philo dans ce monde de stupidité!


En cette période d'approche de bac et parfois en plein dans la période de bac blanc, j'ai eu envie de vous faire part de mon bac blanc de l'an dernier (à défaut de pouvoir y ajouter le bac, puisque cette conne d'académie de toulouse ne veut pas se bouger le cul pour me m'envoyer la copie, 3 mois après ma demande!) bref, voila, j'ai eu un magnifique 18 dont je suis extrèmement fière (17 pour le bac) et je pensais que ça pouvait toujours en aider certains à se rendre compte de ce qu'il faut faire pour avoir une bonne note (et en outre, me faire gonfler les chevilles à tel point que je ne passerai plus les portes). J'ai aussi rajouté les appréciation du prof, pour que tout le monde puisse bien visualisé ce qui est attendu...  Comme j'adore la philo, si vous voulez des conseils... demandez moi! (je suis plus une spécialiste pour les commentaires! mais je ne garantis rien non plus!)


« On dit volontiers : mon vouloir a été déterminé par ces mobiles, circonstances, excitations et impulsions. La formule implique d'emblée que je me sois ici comporté de façon passive. Mais, en vérité, mon comportement n'a pas été seulement passif ; il a été actif aussi, et de façon essentielle, car c'est mon vouloir qui a assumé telles circonstances à titre de mobiles, qui les a fait valoir comme mobiles. Il n'est ici aucune place pour la relation de causalité. Les circonstances ne jouent point le rôle de causes et mon vouloir n'est pas l'effet de ces circonstances. La relation causale implique que ce qui est  contenu dans la cause s'ensuive nécessairement. Mais, en tant que réflexion, je puis dépasser toute détermination posée par les circonstances. Dans la mesure où l'homme allègue qu'il a été entraîné par des circonstances, des excitations, etc., il entend par là rejeter, pour ainsi dire, hors de lui-même sa propre conduite, mais ainsi il se réduit tout simplement à l'état d'essence non libre ou naturelle, alors que sa conduite, mais ainsi il se réduit tout simplement à l'état d'essence non libre ou naturelle, alors que sa conduite, en vérité, est toujours sienne, on celle d'un autre ni l'effet de quelque chose qui existe hors de lui. Les circonstances ou mobiles n'ont jamais sur les hommes que le pouvoir qu'il leur accorde lui-même. »


HEGEL



Le texte de Hegel (1770-1831) s'apparente au thème de la liberté et, plus particulièrement, la liberté de la volonté (oui). La problématique à laquelle ce texte répond semble être : la volonté de l'homme est-elle libre, ou est-elle dictée par un déterminisme qui lui échappe ? L'homme est-il libre de vouloir ? En réponse a cette problématique, Hegel, philosophe allemand, affirme que la volonté de l'homme n'est pas esclave ou soumise à quelques cause, mais libre. (juste)
Dans un premier temps donc, je vais tenter d'expliquer ce texte puis de le critiquer. (AB) 



En premier lieu, Hegel commence par énoncer la « croyance populaire », introduite par « on dit volontiers », qui affirme que la volonté de l'homme est dictée par des raisons (« mobiles ») (déterminants), des évènements (« circonstances ») ou des gouts (« excitations »). (Et les impulsions ?) Ainsi, cela suppose forcément un comportement passif, qui n'aurait donc pas de volonté propre, mais serait plutôt le résultat d'un ensemble de circonstances totalement indépendantes de la volonté de l'homme (en effet), qui ne serait alors qu'un pantin, qui ne maitriserait pas ses actes. Hegel réfute alors cette thèse, disant que l'homme n'est pas forcément passif, car le choix même d'avoir considéré tel ou tel évènement comme une raison (d'agir), constitue une action de la volonté, elle a agi de façon à pousser à choisir d'interpréter une circonstance quelconque comme une raison suffisante et valable (vous insisterez) de se comporter ainsi. De cette manière, Hegel affirme qu'il n'y a donc aucune « cause » pour une volonté qui n'est pas non plus elle-même un « effet » d'u ne succession d'évènements donnée. En effet, la relation de causalité (il y a une cause qui produit un ou des effet(s)) suppose que, suite à la cause, l'effet arrive logiquement, il est déjà sous-entendu dans la cause elle-même.(Ab) Mais, comme le dit l'auteur, l'homme possède la réflexion, la pensée organisée, qui est capable d'anticiper ce que les circonstances pourraient imposer à ma volonté, et donc se libérer de cette relation de cause à effet. (bien) 
            Ensuite, il fait remarquer que, si l'homme prétend être déterminé, victime, en quelque sorte, des évènements ; c'est parce qu'il ne veut pas assumer la responsabilité de ses actes.
En effet, il trouve plus facile de pouvoir désigner pour responsable une raison quelconque, et, ainsi, ne pas être lui-même tenu pour responsable, d'un échec, par exemple. (oui) Cela lui permet d'éviter une remise en cause. Mais, ce faisant, il remet en question sa propre liberté, (il se la dissimule) la liberté de volonté, bien sûr, mais aussi sa liberté d'agir, puisque l'homme agit selon sa volonté, et réduit ainsi sa nature même, à l'état animal, non pas déterminé par des instincts, mais par des mobiles et des circonstances. (Exact) Pourtant, d'après Hegel, l'homme est toujours libre d'agir comme il l'entend, car sa conduite est déterminée par sa volonté propre, qui lui appartient, à lui seul et à aucun autre individu, et n'est elle-même déterminée par aucune circonstance, aucune chose qui ne vienne pas de l'individu lui-même.
(ce serait tout de même à discuter) 
           En conclusion, Hegel affirme que si l'homme se sent esclave de circonstances et de raisons, c'est parce qu'il le veut bien, c'est parce qu'en leur donnant de l'importance, elles en prennent et le deviennent. (vous développerez) Si l'homme veut que sa volonté soit libre de l'emprise des raisons et des évènements, il lui suffit de se convaincre (ou de se rendre compte) qu'elles n'ont, en réalité, aucune emprise ni aucun pouvoir sur celle-ci.



           
En second lieu, je vais me livrer à la critique de la démonstration d'Hegel.
     Tout d'abord, la phrase « mais en tant que réflexion, je puis dépasser toute détermination posée par les circonstances », bien qu'assez claire dans son sens, n'est pas prouvée. (on peut le penser en effet) J'entends bien que par cette phrase Hegel veut dire que, grâce à notre réflexion, il nous est possible de nous libérer des déterminations que nous imposent les évènements, mais il ne se justifie pas. Comment la volonté peut-elle se libérer si elle est « prisonnière » de ce qui entoure l'homme ? (Maladie, misère, terreur d'un régime policier par exemple)
De même lorsqu'il affirme : « sa conduite est toujours sienne, non celle d'un autre ni l'effet de quelque chose qui existe hors de lui ». Il affirme, mais ne prouve pas ce qu'il dit.


            Ensuite, la dernière phrase : « les circonstances ou mobiles n'ont jamais sur les hommes que le pouvoir qu'il leur accorde lui-même » semble vouloir dire qu'il suffit de se convaincre que quelque chose est réel pour que cela le devienne. (soit) Ainsi donc, même si l'homme est bien déterminé par des circonstances, des mobiles etc.… il suffit qu'il leur accorde peu de valeur et sa pensée n'en sera plus dictée. Cela semble trop simple. (oui) Le fait est que Hegel part du fait que la volonté de l'homme est entièrement libre des causes extérieures (« mobiles et circonstances » c'est-à-dire, des raisons et l'environnement extérieur : évènement, climat, espace…) et de causes internes (« excitations et impulsions » : des goûts et des instincts). Mais ma propre vision des choses diffère fondamentalement de celle de Hegel, et c'est ce que je vais tenter d'expliquer.


            Enfin, donc, Hegel affirme que lorsque la volonté choisit une circonstance en tant que mobile, c'est elle qui a assimilé la circonstance en tant que raison valable. Mais l'on peut se demander la raison du choix de cette raison particulière plutôt qu'une autre. Qu'est-ce qui a fait aller le choix vers cette raison là plutôt que vers une autre ? (dites mieux)
Hegel parle de la réflexion, qui surpasse les circonstances. En effet, grâce à la réflexion, l'homme imagine, il conçoit idéalement dans son esprit, il anticipe sur ce qui arrivera s'il fait tel choix ou tel autre choix. Ayant ainsi imaginé la succession d'évènements qu'entrainera sa décision, il choisit. Et que choisit-il ? Généralement, il choisira la solution où son intérêt (mais intérêt de quel ordre ?) est le mieux servi. Le choix est donc déterminé par la réflexion, oui, mais la réflexion est elle-même déterminée par l'intérêt. Rares sont les hommes qui ne sont pas intéressés. Les intérêts diffèrent, certes, mais ils existent pour chaque homme : certains sont attirés par l'argent, les amis, l'amour, d'autres les possessions en tout genre, une longue vie, d'autre encore par l'atteinte de la sagesse, la connaissance, la paix, la guerre, la gloire etc.… (oui bien) L'intérêt semble faire partie intégrante de notre nature. La nature ne serait-elle pas elle-même un déterminisme ? Peut-on se libérer de notre nature ? Pour se libérer de l'emprise des circonstances, donc, Hegel nous propose d'utiliser notre réflexion. Mais la réflexion n'est pas libre, elle est déterminée par l'intérêt, lui-même déterminé par notre nature. La nature ne fait-elle pas partie des circonstances ? C'est une notion sur laquelle on ne peut influer, même en le désirant plus que tout. (bien) 



           En conclusion, donc, et en réponse au problème de ce texte, je dirais, au contraire de Hegel, que notre volonté n'est pas libre, mais sujette au déterminisme de différentes choses qui sont interdépendantes. Mais nous pouvons alors nous demander si, dans ce cas, l'homme n'est pas esclave de sa nature.






(C'est réellement philosophique. Très bon commentaire.)




By princessvalium

Réflexions

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