Samedi 20 mai 2006 à 20:05


Lord Ghazkhull [DECHRISTIANIZE] dit :allé grooooooss bisouuuxxxxxxxx je tadore
Le tonnerre des arbres ressucitant dit :bisoux
Le tonnerre des arbres ressucitant dit :a..?
Lord Ghazkhull [DECHRISTIANIZE] dit :lol kes ki ya??
Le tonnerre des arbres ressucitant dit :ben euh non rien
Lord Ghazkhull [DECHRISTIANIZE] dit :c le "je tadore" ??
Le tonnerre des arbres ressucitant dit :euh oui
Lord Ghazkhull [DECHRISTIANIZE] dit :ben c vrai serieu je te trouve super simpa
et tres marrant
e
donc je tadore
Le tonnerre des arbres ressucitant dit :
merci ca me fait plaisir, mm si ca euh..métonne!
jaime bcp discuté avec toi!
Lord Ghazkhull [DECHRISTIANIZE] dit :
soi po étoné je suis sincère lol
moi aussi
Lord Ghazkhull [DECHRISTIANIZE] dit :
dont worry be happy
Le tonnerre des arbres ressucitant dit :
bisoux
Lord Ghazkhull [DECHRISTIANIZE] dit :
bisoouux jtd
Le tonnerre des arbres ressucitant dit :
ouais merci


Suis-je une inadaptée sociale?



Pourquoi je ne sais pas dire ce que je ressent? et pourquoi mes conversation finissent toujours come ca ?



Le tonnerre des arbres ressucitant dit :


ouais merci



Pourtant ca fait du bien à mon moral, alors merci!



Et voila encore un merci! si les relations se basent sur la capacité à exprimer ses sentiments, plus besoin que je m'étonne d'être incapable de construire des relations avec les gens! je me déteste


Princess, ou la théorie du


"comment un compliment


provoque une réflexion pseudo


sociologico-philosophique


suivi d'une dépression"...

By princessvalium

Réflexions

Samedi 20 mai 2006 à 13:37



"Il n'est pas vrai que quoi que ce soit puisse progresser en allant de beauté en laideur. Il n'est pas vrai que nous n'ayons besoin que d'acier bien trempé, d'automobiles, de tracteurs, de frigidaires, d'éclairage électrique, d'autoroutes, de confort scientifique. Je sais que tous ces robots facilitent la vie, je m'en sers rnoi-rnêrne abondamment, comme tout le monde. Mais l'homme a besoin aussi de confort spirituel. La beauté est la charpente de son âme. Sans elle, demain, il se suicidera dans les palais de sa vie automatique. "


Giono




Ne peut-on pas allier
beauté naturelle et architecturale?


Ne peut-on pas allier
beauté naturelle et architecturale?



By princessvalium

Réflexions

Samedi 1er avril 2006 à 22:18

Aller un peu de philo dans ce monde de stupidité!


En cette période d'approche de bac et parfois en plein dans la période de bac blanc, j'ai eu envie de vous faire part de mon bac blanc de l'an dernier (à défaut de pouvoir y ajouter le bac, puisque cette conne d'académie de toulouse ne veut pas se bouger le cul pour me m'envoyer la copie, 3 mois après ma demande!) bref, voila, j'ai eu un magnifique 18 dont je suis extrèmement fière (17 pour le bac) et je pensais que ça pouvait toujours en aider certains à se rendre compte de ce qu'il faut faire pour avoir une bonne note (et en outre, me faire gonfler les chevilles à tel point que je ne passerai plus les portes). J'ai aussi rajouté les appréciation du prof, pour que tout le monde puisse bien visualisé ce qui est attendu...  Comme j'adore la philo, si vous voulez des conseils... demandez moi! (je suis plus une spécialiste pour les commentaires! mais je ne garantis rien non plus!)


« On dit volontiers : mon vouloir a été déterminé par ces mobiles, circonstances, excitations et impulsions. La formule implique d'emblée que je me sois ici comporté de façon passive. Mais, en vérité, mon comportement n'a pas été seulement passif ; il a été actif aussi, et de façon essentielle, car c'est mon vouloir qui a assumé telles circonstances à titre de mobiles, qui les a fait valoir comme mobiles. Il n'est ici aucune place pour la relation de causalité. Les circonstances ne jouent point le rôle de causes et mon vouloir n'est pas l'effet de ces circonstances. La relation causale implique que ce qui est  contenu dans la cause s'ensuive nécessairement. Mais, en tant que réflexion, je puis dépasser toute détermination posée par les circonstances. Dans la mesure où l'homme allègue qu'il a été entraîné par des circonstances, des excitations, etc., il entend par là rejeter, pour ainsi dire, hors de lui-même sa propre conduite, mais ainsi il se réduit tout simplement à l'état d'essence non libre ou naturelle, alors que sa conduite, mais ainsi il se réduit tout simplement à l'état d'essence non libre ou naturelle, alors que sa conduite, en vérité, est toujours sienne, on celle d'un autre ni l'effet de quelque chose qui existe hors de lui. Les circonstances ou mobiles n'ont jamais sur les hommes que le pouvoir qu'il leur accorde lui-même. »


HEGEL



Le texte de Hegel (1770-1831) s'apparente au thème de la liberté et, plus particulièrement, la liberté de la volonté (oui). La problématique à laquelle ce texte répond semble être : la volonté de l'homme est-elle libre, ou est-elle dictée par un déterminisme qui lui échappe ? L'homme est-il libre de vouloir ? En réponse a cette problématique, Hegel, philosophe allemand, affirme que la volonté de l'homme n'est pas esclave ou soumise à quelques cause, mais libre. (juste)
Dans un premier temps donc, je vais tenter d'expliquer ce texte puis de le critiquer. (AB) 



En premier lieu, Hegel commence par énoncer la « croyance populaire », introduite par « on dit volontiers », qui affirme que la volonté de l'homme est dictée par des raisons (« mobiles ») (déterminants), des évènements (« circonstances ») ou des gouts (« excitations »). (Et les impulsions ?) Ainsi, cela suppose forcément un comportement passif, qui n'aurait donc pas de volonté propre, mais serait plutôt le résultat d'un ensemble de circonstances totalement indépendantes de la volonté de l'homme (en effet), qui ne serait alors qu'un pantin, qui ne maitriserait pas ses actes. Hegel réfute alors cette thèse, disant que l'homme n'est pas forcément passif, car le choix même d'avoir considéré tel ou tel évènement comme une raison (d'agir), constitue une action de la volonté, elle a agi de façon à pousser à choisir d'interpréter une circonstance quelconque comme une raison suffisante et valable (vous insisterez) de se comporter ainsi. De cette manière, Hegel affirme qu'il n'y a donc aucune « cause » pour une volonté qui n'est pas non plus elle-même un « effet » d'u ne succession d'évènements donnée. En effet, la relation de causalité (il y a une cause qui produit un ou des effet(s)) suppose que, suite à la cause, l'effet arrive logiquement, il est déjà sous-entendu dans la cause elle-même.(Ab) Mais, comme le dit l'auteur, l'homme possède la réflexion, la pensée organisée, qui est capable d'anticiper ce que les circonstances pourraient imposer à ma volonté, et donc se libérer de cette relation de cause à effet. (bien) 
            Ensuite, il fait remarquer que, si l'homme prétend être déterminé, victime, en quelque sorte, des évènements ; c'est parce qu'il ne veut pas assumer la responsabilité de ses actes.
En effet, il trouve plus facile de pouvoir désigner pour responsable une raison quelconque, et, ainsi, ne pas être lui-même tenu pour responsable, d'un échec, par exemple. (oui) Cela lui permet d'éviter une remise en cause. Mais, ce faisant, il remet en question sa propre liberté, (il se la dissimule) la liberté de volonté, bien sûr, mais aussi sa liberté d'agir, puisque l'homme agit selon sa volonté, et réduit ainsi sa nature même, à l'état animal, non pas déterminé par des instincts, mais par des mobiles et des circonstances. (Exact) Pourtant, d'après Hegel, l'homme est toujours libre d'agir comme il l'entend, car sa conduite est déterminée par sa volonté propre, qui lui appartient, à lui seul et à aucun autre individu, et n'est elle-même déterminée par aucune circonstance, aucune chose qui ne vienne pas de l'individu lui-même.
(ce serait tout de même à discuter) 
           En conclusion, Hegel affirme que si l'homme se sent esclave de circonstances et de raisons, c'est parce qu'il le veut bien, c'est parce qu'en leur donnant de l'importance, elles en prennent et le deviennent. (vous développerez) Si l'homme veut que sa volonté soit libre de l'emprise des raisons et des évènements, il lui suffit de se convaincre (ou de se rendre compte) qu'elles n'ont, en réalité, aucune emprise ni aucun pouvoir sur celle-ci.



           
En second lieu, je vais me livrer à la critique de la démonstration d'Hegel.
     Tout d'abord, la phrase « mais en tant que réflexion, je puis dépasser toute détermination posée par les circonstances », bien qu'assez claire dans son sens, n'est pas prouvée. (on peut le penser en effet) J'entends bien que par cette phrase Hegel veut dire que, grâce à notre réflexion, il nous est possible de nous libérer des déterminations que nous imposent les évènements, mais il ne se justifie pas. Comment la volonté peut-elle se libérer si elle est « prisonnière » de ce qui entoure l'homme ? (Maladie, misère, terreur d'un régime policier par exemple)
De même lorsqu'il affirme : « sa conduite est toujours sienne, non celle d'un autre ni l'effet de quelque chose qui existe hors de lui ». Il affirme, mais ne prouve pas ce qu'il dit.


            Ensuite, la dernière phrase : « les circonstances ou mobiles n'ont jamais sur les hommes que le pouvoir qu'il leur accorde lui-même » semble vouloir dire qu'il suffit de se convaincre que quelque chose est réel pour que cela le devienne. (soit) Ainsi donc, même si l'homme est bien déterminé par des circonstances, des mobiles etc.… il suffit qu'il leur accorde peu de valeur et sa pensée n'en sera plus dictée. Cela semble trop simple. (oui) Le fait est que Hegel part du fait que la volonté de l'homme est entièrement libre des causes extérieures (« mobiles et circonstances » c'est-à-dire, des raisons et l'environnement extérieur : évènement, climat, espace…) et de causes internes (« excitations et impulsions » : des goûts et des instincts). Mais ma propre vision des choses diffère fondamentalement de celle de Hegel, et c'est ce que je vais tenter d'expliquer.


            Enfin, donc, Hegel affirme que lorsque la volonté choisit une circonstance en tant que mobile, c'est elle qui a assimilé la circonstance en tant que raison valable. Mais l'on peut se demander la raison du choix de cette raison particulière plutôt qu'une autre. Qu'est-ce qui a fait aller le choix vers cette raison là plutôt que vers une autre ? (dites mieux)
Hegel parle de la réflexion, qui surpasse les circonstances. En effet, grâce à la réflexion, l'homme imagine, il conçoit idéalement dans son esprit, il anticipe sur ce qui arrivera s'il fait tel choix ou tel autre choix. Ayant ainsi imaginé la succession d'évènements qu'entrainera sa décision, il choisit. Et que choisit-il ? Généralement, il choisira la solution où son intérêt (mais intérêt de quel ordre ?) est le mieux servi. Le choix est donc déterminé par la réflexion, oui, mais la réflexion est elle-même déterminée par l'intérêt. Rares sont les hommes qui ne sont pas intéressés. Les intérêts diffèrent, certes, mais ils existent pour chaque homme : certains sont attirés par l'argent, les amis, l'amour, d'autres les possessions en tout genre, une longue vie, d'autre encore par l'atteinte de la sagesse, la connaissance, la paix, la guerre, la gloire etc.… (oui bien) L'intérêt semble faire partie intégrante de notre nature. La nature ne serait-elle pas elle-même un déterminisme ? Peut-on se libérer de notre nature ? Pour se libérer de l'emprise des circonstances, donc, Hegel nous propose d'utiliser notre réflexion. Mais la réflexion n'est pas libre, elle est déterminée par l'intérêt, lui-même déterminé par notre nature. La nature ne fait-elle pas partie des circonstances ? C'est une notion sur laquelle on ne peut influer, même en le désirant plus que tout. (bien) 



           En conclusion, donc, et en réponse au problème de ce texte, je dirais, au contraire de Hegel, que notre volonté n'est pas libre, mais sujette au déterminisme de différentes choses qui sont interdépendantes. Mais nous pouvons alors nous demander si, dans ce cas, l'homme n'est pas esclave de sa nature.






(C'est réellement philosophique. Très bon commentaire.)




By princessvalium

Réflexions

Vendredi 17 février 2006 à 15:58

A l'occasion hier de ma visite a Théo, mon ancien lycée pour récupéré mon diplôme du bac, je me suis replongée dans mes souvenirs d'enfance (qui n'en était plus exactement une en fait ^^ puisqu'il s'agit de mes souvenirs de lycée)


Ayant eu récemment des nouvelles d'un peu tout les gens que je fréquentais au lycée, ce fut pour moi une occasion de réaliser à quel point les choses sot incertaines... La plupart ont arrété les cours après le bac, cretains pour travailler, d'autres ne glandent rien et restent chez papamaman, et d'autres encore, sont carrément à la rue faisant la manche...


Mais loin de ces soucis ont ressurgit mes souvenirs de 2nde...


Débarquant du collège où ma vie avait été un enfer pendant 4ans, je n'attendais plus rien de la vie (et oui blasée a 15ans!) et ne me faisais pas beaucoup d'illusions... ERREUR!!!


Ce fut pour moi la meilleure année de ma vie. Outre le fait que je venait d'acquérir une liberté toute nouvelle pour moi, je découvrit aussi que l'insouciance est un sentiment merveilleux.


Groupe de 6 filles inséparables, on restait ensemble a part de la classe (ce qui est une très bonne chose d'ailleurs, vu les pouff qui composaient le reste de cette classe!!) nous n'avions rien en commun, si ce n'est cette envie insatiable de mordre la vie à pleine dents, et de rire et rire encore et rire toujours!! On faisait tout pour rire, il nous est même arrivé de nous bourrer la gueule au lycée pour rire, c'était notre leitmotiv, rions!! Voila, les souvenirs qui me resteront en tête, six filles un peu bébètes et qui n'avaient rien en commun, en train de rire...


Mon année de seconde, fut un grand éclat de rire... C'est ce que je veux en garder... Même si depuis, on ne se parle plus, parce que finalement, on n'avait vraiment rien en commun, c'est comme ca, c'est la vie, même si on a eu ensuite des petits accrocs, je vous aimerez toujours pour cette année, et je ne veux garder en tête que ce bonheur... Bonheur qui s'est réalisé et a pris fin à la fois pendant notre semaine a la bergerie...











Ce n'est pas vraiment mon habitude de me laisser aller à raconter des souvenirs, c'est très privé ce genre de choses et je ne suis pa du genre à étaler ma vie pour qu'on me plaigne ou m'envie, mais là, j'avais envie...


Je ne regrette rien, si ce n'est d'avoir coupé les ponts pour des raisons stupides avec celle à qui, finalement, je tenais le plus...




J'espère que vous ne verrez pas d'inconvénients à ce
 que j'ai mis des photos de vous sans vous en parler

By princessvalium

Réflexions

Mardi 27 décembre 2005 à 12:27




Xavier, 15 ans, se convertit à l'écologie. Il prêche la protection des animaux, et, fort d'une bigoterie à toute épreuve, devient végétarien.



En un temps record, contre son propre goût,
et l'histoire complète de ses repas de famille,
il abjure tout désir carnivore.


Or, avec la même ferveur apostolique, en plein milieu de leur boutique,
il tue ses parents à coups de couteau.




Pour leur malheur, les deux hérétiques tenaient une boucherie.




By princessvalium

Réflexions

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