)
j'ouvre une grosse parenthèse, que j'espère pouvoir refermer bientôt, cependant j'en doute (pas avant juin au moins).
En effet, les quelques lecteurs qui prennent encore le temps de venir lire mes élucubrations auront pu constaté que celles ci se font rares ces derniers temps.
Certes oui, et que je vous explique pourquoi, à ne pas vous laisser dans le doute et l'expectation comme ça, les yeux brillants d'humidité suppliant quémandant une raison pouvant justifier une annonce aussi soudaine qu'inattendue. (c'est à dire, à vos yeux: rien!)
Eh bien, c'est le sempiternel refrain: "le quotidien nous a bouffé Robert, et oui, on passe notre vie au travail, on ne prend plus le temps de se parler, on ne se voit plus, que pour dormir, et encore, la plupart du temps je n'ai pour seule conversation que le bruit sourd de tes naseaux obstrués de glotte obscure."

Du réchauffé
dites-vous? et que pensez vous de "j'ai trop de boulot à la fac?" J'entends déjà les gloussements dindonesques des illettrés. Et pourtant pourtant, c'est bien ce boulot là à la fac, qui me ronge, et bouffe ma vie sociale (du moins le peu qu'il reste tant certaines de mes relation s'étiolent). Je sais que peu se rendront compte de ce que représente la rédaction hebdomadaire de 4 commentaires de textes: 2 en littérature, 2 en civi, une version et un thème, des exercices de linguistique (et là les amateurs se marrent déjà), des critiques et études de tableaux à potasser, ainsi que certains documents de didactiques. Tout ceci en anglais bien sûr, et à saupoudrer d'apprentissage des cours au fur et à mesure et de rédactions de fiches, de lecture des 3 livres du programme, ainsi que tout le boulot que je n'ai pas cité puisqu'il n'est pas hebdomadaire, comme par exemple, au pif hein, cette semaine, 2 dissert à rendre pour respectivement mardi: Language and Power in Foe et jeudi: The Sublime and the Grotesque in the Red Badge of Courage...
Veuillez avoir l'obligeance de noter et de prendre en compte dans vos jugements hâtifs que cette année nous n'avons PAS de révisions, ni de vacances, (ah si pardon, non, je MENS, nous avons deux jours de vacances ce week-end: jeudi et vendredi, vacances qui seront bien entendu rattrapées le lundi et le mardi juste avant les exams...)
 huummmmm je me régale déjà à l'avance... Et oui comme au 1er semestre ou les étudiants de lettres furent les seuls à se faire ENCULER (et je pèse mes mots), à ne pas avoir de jours de révision, même pas un week-end, puisque la fin des cours le mercredi soir sonnant à 19h indiquait aussi le début des examens le lendemain matin jeudi à 8h... Il faut croire qu'on aime ça, se faire enculer...

Alors,
que les douillets et autres femmelettes
ne viennent pas pleurnicher comme des
bébés s'étouffant dans leur propre
morve...

Cependant ne tombons pas dans la dramatisation ou pire, la victimisation, je ne me plains pas, j'ai signé, c'est pour en chier, l'an prochain je rejoins le club des branleurs de master () et cela me laissera à n'en pas douter plus de temps pour continuer à gérer ce blog, mais ma vie cybernétique n'est pas une priorité. En attendant, ce blog est en pause, en attente de nouveaux horizons, et de perspectives plus propices à sa continuation.

bon vent à tous!